Mon actu – Avril 12.025 EH

Avril aura trouvé le moyen d’être plus compliqué et fatiguant que Mars. On va espérer que Mai se passera mieux. Ce post va être un peu maigre.

Résolution de raisonnabilité

J’ai été raisonnable ce mois-ci. Je m’en tiens à ce que j’ai décidé de faire cet année, et de toute façon je n’ai pas eu assez de temps pour faire tout ce que j’aurais voulu.

Résolution d’écriture

Métal v2
Je suis repassé sur le système pour en retirer une idée que j’avais eu au début de cette itération et qui s’est soudain révélée plus encombrante qu’autre chose. C’est une bonne chose. J’arrive à avancer de nouveau sur les règles de création de personnages, sur lesquelles je bloquais à cause de l’idée susmentionnée.

Setting de JDR
Pour le moment c’est en suspens. Mais les idées mûrissent tranquillement. Métal v2 a la priorité

Mytho-Fantasy Grecque
Pas grand chose de neuf, mais je ne lâche pas l’affaire.

Résolution de déGafamisation

J’ai viré Visual Studio Code de mes deux PC pour installer VSCodium à la place. Réduire de plus en plus la voilure sur les logiciel de Microsoft me procure une satisfaction certaine, et ça compense pour le taff où je ne peux pas faire autrement que d’utiliser leurs logiciels.

Résolution de lecture

Je continue les audiobook de Pratchett. J’ai bouclé Carpe Jugulum, et je suis passé au tome 2 de The Science of Diskworld.

J’ai commencé Comment écrire de la fiction de Lionel Davoust. On verra si j’en tire des réflexions utiles.

Côté Manga j’ai commencé à enquiller les tomes de DanDaDan et j’accroche énormément.

Regardure 12.025 – Avril

Plus de découverte que de revisionage dans le numéro d’avril de Sispéorama, et beaucoup de films du siècle dernier.

Making a Living (Henry Lehrman – 1914) 🤍️
Kid Auto Races at Venice (Henry Lehrman – 1914) 🤍️
Mabel’s Strange Predicament (Mabel Normand – 1914) ❤️
Il s’agit des trois premiers court-métrages dans lesquels Chaplin a tourné. C’était intéressant à voir pour le côté historique de ces films.

Godzilla ❤️❤️
(Ishirō Honda – 1954)
J’ai enfin vu le Godzilla d’origine, dans sa récente version remasterisée.
C’est assez fascinant de découvrir un film qui a eu un tel impact sur tout un pan du cinéma. Mais surtout, quand on voit le thème du récit, la mise en scène des destructions provoquées par Godzilla, et qu’on réalise que toutes celles et ceux qui ont participé au film ont vécu la fin de la guerre et les bombardements nucléaires, cela donne un poids terrible aux images.

Mr Freedom 🤍️
(William Klein – 1969)
J’ai découvert ce film grâce à la vidéo d’Arkéotoy à son sujet (https://youtu.be/7s60JPh4Vks)
J’ai été intrigué et j’ai trouvé le film dans un recoin de Youtube, cependant je n’ai pas réussi à aller au bout. C’était trop rugueux pour moi.

Les fourberie de Scapin ❤️
(Roger Coggio – 1981)
Une version film de la pièce que j’avais enregistré lors de son passage à la télé et revu un nombre de fois conséquent, comme tous les pièces de Molière que j’arrivais à choper à l’époque. En le revoyant 40 ans après, je suis impressionné d’à quel point je men souvenais.

Kiss Kiss Bang Bang ❤️❤️❤️
(Shane Black – 2005)
What… 20 ans déjà ?! Un film qui fait partie de ceux que je revois très régulièrement. J’aime vraiment bien ce que fait Shane Black, à l’exception de The Predator (💩).

Poor Things ❤️❤️
(Yorgos Lanthimos – 2024)
J’ai attaqué ce film sans en savoir rien. J’étais juste attiré par l’esthétique des quelques images que j’avais vu. C’est une très belle découverte, et j’ai déjà très envie de le revoir.

(Les appréciations possibles sont ❤️❤️❤️ – ❤️❤️ – ❤️ – 🤍️ – 💩️)