Préambule : ce qui suit est la réécriture d’un article que j’avais posté il y a cinq ans, sur un blog précédent.
Devant un film, on est comme Saint Thomas, on croit ce qu’on voit. D’instinct on interprète les images comme la représentation d’une réalité objective, et ça marche d’autant mieux quand le film a une apparence “réaliste”.
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